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Définition du mot gros

Définition du mot gros |

Définition : (fr-accord-s|??o|s) gros

  • Qui a beaucoup de circonférence, de volume ; il est opposé à menu et petit. - Un gros homme. - Un gros paquet. - Que diable ! te voilà grand et gros comme père et mère. — Molière, Scapin, I, 2.

  • Il se dit, sans songer à la grosseur absolue, pour exprimer la grosseur relative. - Les souris sont moins grosses que les rats. - Le gros bout et le petit bout. - La grenouille, qui nétait pas plus grosse quun œuf, s’étend et s’enfle pour égaler le bœuf.

  • (ucf|grossi), enflé. (mar) (ucf|soulevé) en vagues fortes - Avoir la joue grosse. - LEurotas était alors fort gros et fort enflé par la fonte des neiges. — (Charles Rollin, Historique ancien Œuv. t. V, p. 398.) - La mer est grosse, elle est très agitée.

  • (ucf|épais), il s’oppose alors à fin, délié, délicat. - Gros fil. - Grosse toile. - Gros drap. - Gros souliers.

  • (ucf|grossier). - Des gros mots, des jurements, des paroles un peu libres, qui sentent la gaudriole. - Un gros juron, un jurement grossier. - Passez les mots aux rieurs, Les plus gros sont les meilleurs Pour la gaudriole. — (Pierre Jean de Béranger, la Gaudriole.)

  • Qui surpasse en étendue, en volume, en valeur, en importance, la plupart des choses de même genre. - Une grosse rivière. - Polybe, en parlant de l’un de ces princes, marque en termes formels qu’il payait de grosses pensions à divers tyrans de la Grèce, qui étaient les ennemis déclarés de la liberté. — (Charles Rollin, Historique ancien Œuv. t. VII, p. 566.) - Il Aristomène leva les meilleures troupes qu’il put trouver ; il envoya Scopas en Étolie avec de grosses sommes d’argent, pour y lever autant de troupes qu’il pourrait. — (Charles Rollin, ib. t. VIII, p. 237.) - Pindare ayant loué dans un de ses ouvrages la ville d’Athènes, les Thébains le condamnèrent à une grosse amende. — (Charles Rollin, ib. t. II, p. 110.) - Jai commencé à établir entre Pétersbourg et ma colonie un assez gros commerce. — Voltaire, Lett. Richelieu, 16 déc. 1771. - Labbé de Condillac revenait en France avec une pension de dix mille livres et l’assurance d’une grosse abbaye. — Voltaire, Lett. Damilaville, 11 déc. 1764. - On composerait un gros livre de tout le bien qu’on peut faire ; mais un prince philosophe na pas besoin d’un gros livre. — Voltaire, Pol. et lég. La Voix du peuple. - Cette opération, qui triplerait les productions, exige de gros capitaux et beaucoup d’esclaves. — Abbé Raynal, Historique phil. XIII, 39. - Il circulait un assez gros numéraire à la Barbade. — Abbé Raynal, ib. IX, 9.

  • Qui est supérieur en nombre. - Un gros escadron de Parthes pleins de joie. — Pierre Corneille, Rodog. I, 6. - Les Parthes à la foule aux Syriens mêlés … Font leur suite assez grosse … — Pierre Corneille, ib. V, 2. - Il y avait beaucoup de duchesses, la cour fort grosse. — Marquise de Sévigné, Lett. 17 janv. 1689. - La cour était toujours grosse chez la reine. — (Antoine Hamilton, Gramm. 6.) - Il envoya sur-le-champ un gros détachement de son armée contre Jérusalem. — (Charles Rollin, Traité des Ét. V, ch. II, 2e part. art. 2e.) - Il avait amassé dans ses arsenaux des armes pour équiper trois armées aussi grosses que celle qu’il avait actuellement. — (Charles Rollin, Historique ancien Œuv. t. IX, p. 13, dans POUGENS.) - Et s’étant fait accompagner d’une grosse escorte. — (Vertot, Révol. rom. VII, p. 208.)

  • Les gros bataillons, les armées les plus puissantes. - Un prince veut faire la guerre, et, croyant que Dieu est toujours pour les gros bataillons … — Voltaire, Singul. natur. 31.

  • Un peu plus de… - Il y a jusque-là une grosse lieue. - Je serai chez toi dans une grosse demi-heure.

  • (fig) Qui a de la gravité ; qui a des suites, des conséquences. Ce nest pas une grosse affaire. - Je suis bien trompée, ou c’est un péché qu’il fait contre les idées de l’amour, des plus gros qu’il se fasse. — Marquise de Sévigné, Lett. 29 nov. 1679.

  • Une grosse fièvre, fièvre violente. Un gros rhume. - La pauvre Mme de Coulanges a une grosse fièvre avec des redoublements. — Marquise de Sévigné, 313.

  • (fam) . Grosse querelle, querelle violente ou sur une chose importante. Il s’est fait une grosse querelle avec un de ses voisins.

  • Une grosse colère, une colère violente. - Jai été tenté de me mettre dans une grosse colère à l’occasion de ce qui s’est passé à l’Académie française. — Voltaire, Lett. Condorcet, 11 mai 1772.

  • En parlant des personnes, riche, opulent. Une grosse héritière. - Je me trouvai au palais avec bon nombre de noblesse et de gros bourgeois. — Cardinal de Retz, III, 339. - À placer sans raison, le mot de gros partout, Et cent autres encor qu’on soutient de bon goût. — Hauteroche, Bourg. de qual. I, 5. - Ceux du loup ses parents, gros messieurs, l’ont fait apprendre à lire. — Jean de la Fontaine, Fabl. XII, 17. - Qui parmi ses parents Pouvait compter les plus gros de la ville. — Jean de la Fontaine, Cal. - …Et l’on sait qu’une fille, Pour enrichir un frère, en faire un gros seigneur, Doit renoncer au monde … — Jean-François Regnard, Distrait, IV, 2. - Sais-tu bien qu’en temps de peste cette fille-là pourrait devenir un très gros parti ? — Jean-François Regnard, le Retour imprévu, sc. 2. - Pour qu’elles aient la rage au cœur de voir Colette devenir grosse madame. — (Florent Carton, Mari retrouv. sc. 2.) - Un gros négociant qui laissa de grandes richesses à ses enfants. — Alain René Lesage, Diable boit. 12. - Ce gros marchand, à qui vous avez fait un billet de neuf cents francs pour trente pistoles d’étoffe qu’il vous a fournie, aurait-il obtenu sentence contre vous ? — Alain René Lesage, Crisp. riv. de son maître, sc. 1. - Quil me laisse mon pauvre Arlequin, qui nest pas plus gros monsieur que je suis grosse dame. — Pierre de Marivaux, Doubl. inconst. I, 1. - Grand financier signifie un homme très intelligent dans les finances de l’État ; gros financier ne veut dire qu’un homme enrichi dans la finance. — Voltaire, Dict. phil. Grand. - Elle prenait le train de devenir bientôt une grosse fermière. — Jean-Jacques Rousseau, Confess. VI.

  • Cest un des gros colliers de l’ordre, il a une grande autorité dans sa compagnie.

  • Une grosse maison, une famille considérable par sa fortune et son importance. - Vergy est une grosse et ancienne maison de Bourgogne, et de telle prééminence, qu’elle fut alliée à la maison de Bourgogne. — (Paradin, Annales de Bourgogne, t. II, p. 228.)

  • Une grosse maison, se dit d’une maison où il y a beaucoup de domestiques, où il se fait beaucoup de dépenses. - Cest bien à elle d’avoir seule une grosse maison, des habits magnifiques. — Jean-François Regnard, le Retour imprévu, sc. 1.

  • Une grosse maison, se dit encore, dans le commerce, d’une maison qui fait beaucoup d’affaires.

  • Une grosse fortune, de grandes richesses. Il ne tenait qu’à vous Dans votre état, avec une grosse fortune, De trouver une femme, et dix mille pour une, COLLIN DHARLEVILLE, Vieux célib. II, 2,

  • Gros air, air d’importance.

  • Familièrement. Faire une grosse figure, être dans un rang élevé.

  • Une grosse table, une table bien servie où l’on a beaucoup de monde. - En perdant au jeu et en tenant une grosse table. — (Antoine Hamilton, Gramm. 6.)

  • Faire du gros d’or, s’est dit pour : faire l’important. - Il est vrai qu’il Furetière fait du gros d’or, et qu’il s’est donné un air de dignité avec une canne que les méchants plaisants disent être l’instrument de son supplice ; et auprès de lui les du Cange, les Ménage et tant d’autres ne sont que des écoliers. — Charpentier, dans FURETIÈRE, factums, t. II, p. 233.

  • Epais, grossier, opposé à fin, délicat. Gros fil. Grosse toile. Gros drap.

  • Gros vin, vin couvert et épais.

  • Moudre en grosse, voir aussi moud.

  • Les gros ouvrages, dans une maison, ce qu’il y a de plus pénible dans le service, laver les appartements, écurer les casseroles, nettoyer les souliers, etc. - Elle aura sous elle une servante qui fera par son ordre les gros ouvrages de la maison. — Jacques-Bénigne Bossuet, Règlem. pour les fill. Propag. de la foi, VI, 11.

  • (fig) Des choses grosses, des choses qui sont palpables, grossières, que l’esprit na aucune peine à saisir. - En l’un lesprit de géométrie, les principes sont palpables, mais éloignés de l’usage commun, de sorte qu’on a peine de tourner la tête de ce côté-là, manque d’habitude ; mais, pour peu qu’on s’y tourne, on voit les principes à plein ; et il faudrait avoir l’esprit faux pour mal raisonner sur des principes si gros qu’il est presque impossible qu’ils échappent. — Blaise Pascal, Pensées, art VII, 1, edit. LAHURE, 1860.

  • (fig) et (fam). Navoir qu’un gros bon sens, avoir le sens bon et droit, mais peu délicat. - Le pays de Lalleu na que de gros laboureurs, mais gens de bon sens et de bon gros raisonnement. — Louis de Rouvroy, 473, 92. - Rien ne paraît plus éloigné de l’aimable caractère du chien que le gros instinct brut du cochon. — (Georges Louis Leclerc, Quadrup. t. VIII, p. 56.)

  • Cest un gros fin, se dit, par contre-vérité, de celui qui nest guère fin.

  • Un gros lourdaud, un gros animal, une grosse bête, un gros butor, c’est-à-dire un homme stupide, maladroit, grossier. - Les plus habiles courtisans peuvent être de fort grosses dupes. — Cardinal de Retz, IV, 90. - Ce que je sais, c’est qu’aux grosses paroles On en vient sur un rien, plus des trois quarts du temps. — Jean de la Fontaine, Fabl. XII, 8. - De part et d’autre MM. de Rohan et de Chaulnes les grosses paroles commencèrent à échapper entre les dents. — Louis de Rouvroy, 26, 47.

  • (fig) et (fam). Grosses vérités, vérités dures, reproches graves.

  • Gros vert, gros bleu, vert foncé, bleu foncé.

  • (term|papeterie) Gros bon, pâte commune faite de vieux chiffons, qui s’emploie à faire le papier dit aussi gros bon. (fr-accord-s|??o|s) gros adjectif substantivé

  • Personne présentant une corpulence certaine.

  • (fam) (ucf|riche), notable. - Les gros vont à la messe. (fr-inv|??o) gros adjectif substantivé (msing)

  • Partie principale. - Le gros de l’arbre, le tronc. - Le gros de l’hiver, le gros de l’été, temps de ces deux saisons où le froid, la chaleur a le plus d’intensité. - Qu’heureux est ce moment où sa bonté de Dieu déploie Sur un gros d’amertume un peu de ses douceurs ! — Pierre Corneille, Imit. II, 8.

  • (constr) Se dit d’une poutre de charpente dont deux dimensions sont égales. - Poutre de quinze pouces de gros : Poutre dont chaque face est de quinze pouces.

  • Couper au gros : (term|jardinage) Pousser le retranchement d’un rameau jusqu’à la grosse branche.

  • (mari) Le gros de l’eau : La pleine mer au temps des syzygies de la lune.

  • La partie la plus forte en nombre. - On voit naître de là mille sourdes pratiques Dans le gros de son peuple et dans ses domestiques. — Pierre Corneille, Nicom. II, 1. - Un des cavaliers se détacha du gros au galop, et prit les devants. — Paul Scarron, Rom. com. I, 14. - Judas en fut averti, et il marcha aussitôt avec les plus vaillants de ses troupes, pour aller attaquer le gros de l’armée du roi qui était à Emmaüs. — (Isaac Louis Lemaistre de Sacy, Bible, Machab. I, IV, 3.) - Le cardinal de Lorraine pressait l’ouverture du colloque, bien que le gros des prélats, et surtout le cardinal de Tournon, archevêque de Lyon, qui les présidait comme le plus ancien cardinal, y eussent une extrême répugnance. — Jacques-Bénigne Bossuet, Var. IX, § 92. - Les éléphants et les chevaux marchaient à la tête ; il suivait avec le gros de son infanterie. — (Charles Rollin, Historique ancien Œuv. t. I, p. 395.)

  • Le gros du monde : La plus grande partie du monde. - Le gros du monde se comporte ainsi. - La nouvelle comtesse de Mailly, noble, magnifique, mais glorieuse à l’excès, désagréable avec le gros du monde. — Louis de Rouvroy, 3, 55. - L’envie de voir de près quelques-uns des mystères newtoniens cachés jusqu’ici au gros du monde. — Voltaire, Lett. Pitot, 17 mai 1737.

  • Un gros : Un grand nombre de, une grande troupe de. - Un gros de courtisans en foule l’accompagne. — Pierre Corneille, Poly. I, 4. - Suivi d’un gros armé d’amis et de valets. — Pierre Corneille, Théod. V, 8. - Un chétif centenier des troupes de Mysie Quun gros de mutinés élut par fantaisie. — Pierre Corneille, Héracl. I, 2. - Qu’il est aisé de rompre ce gros de désespérés. — Esprit Fléchier, Théodose, IV, 56. - Et l’on dit que, suivi d’un gros d’amis fidèles, On l’a vu se mêler au milieu des rebelles. — Jean Racine, Mithr. IV, 6. - Gobert aurait eu bon marché de cette poignée de gens trop éloignés de leurs gros. — Louis de Rouvroy, 29, 86.

  • Ce qu’il y a de principal et de plus considérable. - M. de Vaugelas donna les siens papiers, qui étaient fort courts, et ne touchaient que le gros de ce dessein le plan du dictionnaire, auquel il offrait de nouveau de contribuer. — (Paul Pellisson, Historique Acad. III.) - Il tombe ensuite en des parenthèses qui peuvent passer pour épisodes, mais qui font oublier le gros de l’histoire, et à lui qui vous parle, et à vous qui le supportez. — Jean de la Bruyère, V. - Ceux-ci faisaient bientôt passer le gros de leurs discours au reste de l’armée. — (Charles Rollin, Historique ancien Œuv. t. XI, 2e part. p. 448.)

  • (ucf|commerce) dans lequel on ne vend que par notables parties, par opposition au commerce de détail. - Marchand en gros. - Tenir le gros.

  • Dans le département du Nord, houille en gros morceaux.

  • (term|reliure) Cahier de seize pages, dans la feuille in-douze.

  • (ucf|revenu) fixe d’une cure, par opposition au casuel.

  • Revenu principal qu’un chanoine tire de sa prébende, par opposition à distribution manuelle.

  • (droit) Taxe que l’on payait aux fermiers des aides pour chaque muid de vin que l’on vendait en gros.

  • (métrol) Anciennement, la cent-vingt-huitième partie de la livre, ou la huitième partie d’une once. - Un gros d’argent, de soie. (fr-inv|??o) gros (inv)

  • D’une manière grosse.

  • Écrire gros : Écrire en caractères plus gros que d’habitude. - Mon cher ange, je suis presque aveugle, j’écris de ma main et le plus gros que je peux. — Voltaire, Lett. d’Argental, 24 novemb. 1770.

  • Beaucoup. - J’ai vu dans le palais une robe mal mise Ganer gros … — Jean de la Fontaine, Fabl. VII, 15. - M. de Duras n’a prêté serment de maréchal que parce que les gens du roi, qui en touchent gros, s’avisèrent qu’il n’avait prêté ni celui de maréchal de France, ni celui de gouverneur de la Franche-Comté. — Louis de Rouvroy, 5, 68. - À la fin, et à force de donner gros, le marché entre Monsieur et le cardinal de Bouillon pour le Dauphiné d’Auvergne fut conclu. — Louis de Rouvroy, 24, 28. - Mais il est clair qu’on me donne en échange De l’amitié pour de l’amour, C’est perdre gros … — (Imbert, Jaloux sans amour, I, 5.)

  • Cela coûte gros : Cela coûte beaucoup (locution née pendant la révolution, dit Mme de Genlis, Mém. t. V, p. 91).

  • Coucher gros : Jouer gros jeu.

  • (fig) Risquer beaucoup. - Il veut tout ou rien, c’est coucher gros.

  • Avancer quelque chose d’extraordinaire. - Il dit bien des gasconnades, il couche gros.

  • Il y a gros à parier que : (fig) Il y a de fortes raisons de croire que. (créer-séparément)

  • en gros, loc. adv. Par grande quantité. - Vendre en gros. Marchand en gros, en demi-gros.

  • Considéré ensemble. - Quand je regarde en gros la longue absence où il me paraît que nous sommes condamnés, j’avoue que j’en frémis. — Marquise de Sévigné, 564. - En gros j’ai fait de vous un portrait fort avantageux. — (François de Salignac de la Mothe Fénelon, Dial. des morts mod. dial. 6.) - Les hommes fripons en détail sont en gros de très honnêtes gens. — (Charles-Louis de Secondat Montesquieu, Esp. XXV, 2.)

  • (ucf|sommairement). - Voilà l’histoire en gros. — Molière, l’Ét. IV, 1. - Les autres péchés dont on s’accuse en gros. — Blaise Pascal, Provençal 10. - N’entrez point dans ce détail ; mais dites en gros que qui fait plaisir au frère, en fait à la sœur. — Marquise de Sévigné, 503. - Elle savait en gros les malheurs de mon fils. — Marquise de Sévigné, 464. - Je vous ai rapporté en gros quelque chose de ces prophéties. — Jacques-Bénigne Bossuet, Historique II, 5. (créer-séparément)

  • tout en gros, loc. adv. Seulement, pas davantage. - Il y avait vingt personnes tout en gros. (créer-séparément)

  • de gros en gros, loc. adv. D’une façon générale. - Nous ne jugeons ordinairement des êtres que par des comparaisons assez grossières ; nous les comparons de gros en gros dans leur forme et dans leur structure, et, si cet examen superficiel ne nous offre aucun trait de similitude, nous ne nous avisons guère d’en soupçonner. — Charles Bonnet, Paling. philos. IV, 2. (ébauche-pron|fr) (-réf-) (R:Littré)

    Étymologie - antonyme - synonyme - homonyme - expression du mot gros

    Expression : (fig) se tenir au gros de l’arbre, s’attacher à l’autorité, suivre le parti le plus fort, ne pas s’écarter de ce qui est établi.
    Antonyme : menu, petit,, demi-gros commerce où l’on vend à la fois en gros et en détail, gros-argentin, gros-bec, gros-blanc, gros-bois, gros-grain, gros-guillaume, gros-miaulard, gros-noir, gros-porteur, grosse-de-fonte, gros-ventre, gros-vert, menu-gros

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